Le scandale a fini par émerger dans les médias : près de 2,5 milliards d’euros ont été détournés des caisses de l’État irakien. Certains parlent de « casse du siècle », d’autres du « plus grand braquage de l’histoire de l’Irak », le chercheur, Sardar Aziz, constate la nature complexe d’un tel événement que le système politique irakien actuel ne pouvait empêcher.