Fin de l’apaisement : le gouvernement irakien face à un choix, Chamberlain ou Churchill ?
Cet article remet en question la politique étrangère d’apaisement de l’Irak, la comparant aux stratégies échouées de l’Europe d’avant la Seconde Guerre mondiale. Il soutient que l’approche irakienne de neutralité dans ses relations a laissé le pays faible, isolé et incapable de protéger ses intérêts nationaux. Des exemples historiques, comme la réponse de l’Irak face à la guerre civile syrienne et aux menaces terroristes, illustrent les limites de cette politique.